UCB France et Addiction Agency gomment le psoriasis du corps – et surtout de l’esprit – des patients
Addiction Agency déploie « À fleur de peau », une campagne artistique de sensibilisation au psoriasis avec le laboratoire UCB. En partenariat avec la prestigieuse école des GobelinsParis, une classe d’étudiants en art a eu la tâche de mettre en lumière le poids du regard des autres sur les patients atteints de psoriasis. Une campagne diffusée auprès du grand public sur les réseaux sociaux – Instagram, TikTok, YouTube, Facebook – et en DOOH dans les cabinets de santé, ainsi qu’auprès des professionnels de santé lors des congrès professionnels et au travers de kits spécialement conçus pour eux.
En France, le psoriasis affecte plus de 2 millions de personnes et 62% des patients atteints souffrent de complexes liés à l’impact du regard des autres. Cette maladie chronique inflammatoire de la peau a des conséquences psychologiques très lourdes, la visibilité des lésions cutanées étant le principal facteur de stigmatisation. Socialement, l’aspect visuel de la maladie est le plus difficile à vivre pour les patients. La peur du regard d’autrui entraîne des comportements d’évitement – éviter de sortir, limiter les interactions sociales, jusqu’à parfois même développer des états dépressifs –.
Face à ce constat, UCB France & Addiction Agency se sont invités au cœur de la prestigieuse école de l’image des Gobelins, pour créer autour du psoriasis une expérience artistique immersive aussi surprenante qu’instructive, visant à révéler l’importance de l’aspect visuel de cette pathologie. C’est durant un cours de modèles vivants, qu’a pris vie « À fleur de peau », une campagne de sensibilisation s’appuyant sur l’objectivité du regard des jeunes artistes pour interpeller aussi bien le grand public que les professionnels de santé afin d’éveiller les consciences sur les impacts de la maladie.
En impliquant ces artistes, ce sont des yeux habitués à la nudité qui ont été surpris, au moment de la mise à nu d’un modèle présentant un psoriasis sévère, permettant ainsi de capturer les réactions spontanées mais surtout les différentes représentations artistiques du modèle et de ses plaques. Les élèves ont pu dessiner le corps à leur manière et ainsi exprimer librement leurs interprétations artistiques. 75% des étudiants ont choisi de ne pas représenter le psoriasis sur leurs dessins. En gommant spontanément le psoriasis du corps du sujet, les élèves ont choisi de ne pas réduire le modèle à sa maladie.
En France, malgré les dernières avancées thérapeutiques efficaces, trop peu de patients ont accès aux traitements innovants qui leur permettraient de limiter la visibilité de leur maladie. Les choix artistiques des étudiants nous rappellent la nécessité d’informer le plus grand nombre sur les solutions qui peuvent désormais gommer le psoriasis du corps des patients. Pour aller plus loin, une activation a été imaginée pour permettre aux professionnels de santé de se mettre littéralement dans la peau des patients. Un kit de tatouages éphémères réalistes représentant des plaques de psoriasis leur a été fourni, leur donnant la possibilité de vivre l’expérience du regard des autres. Le film de cette expérience artistique et sociale a été diffusé auprès du grand public sur les réseaux sociaux, en DOOH dans les salles d’attentes et auprès des professionnels de santé lors de congrès.
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