Rosa Paris ré-enchante Banque Populaire avec le réalisateur du Règne Animal, Thomas Cailley
Thomas Cailley à la réalisation de ce film pour Banque Populaire, c'est une première ! Le réalisateur des Combattants, de la série Ad Vitam et surtout du Règne animal, nommé 12 fois aux César, et finalement récompensé pour la meilleure musique originale, le meilleur son, la meilleure photo, les meilleurs costumes et les meilleurs effets visuels a su, briefé par l'agence Rosa Paris, ré-enchanter visuellement la mission de la Banque Populaire: transmettre le goût d'entreprendre.
Le précédent spot de l’agence Rosa Paris pour son client datait de 2022, et communiquait sur l’idée de rendre visible le lien d’ordinaire invisible qui relie les entrepreneurs, et combien les choix de chacun ont un impact autour de nous, indiquait alors Jean-Patrick Chiquiar chez Rosa. Aujourd’hui, l’agence poursuit ce travail avec bien plus de liberté, en offrant un spectacle enchanteur à l’image. Côté musique, l’inarrétableFreede Stevie Wonder, qui accompagne la banque depuis plus de 30 ans est réorchestré, en mode choral. Une réussite.
L’histoire est celle d’une jeune fleuriste qui inaugure sa boutique, et dont la décision de se lancer ce défi, va engendrer tout un tas de changements dans la ville. « Ce ne sont plus des démonstrations concrètes de l’interdépendance entre les entreprises des uns et des autres qui va opérer la mue de la cité« , explique Jean-Patrick Chiquiar, (Rosa Paris), mais bien des fleurs qui vont jaillir un peu partout dans la ville. Sur un balcon, sur les murs, dans les escaliers, dans la foulée d’enfants qui courent sur un terrain. Jusqu’à la toute fin, où la nature est partout. Une campagne toute en délicatesse et en joie pour dire que Banque Populaire accueille 200 entrepreneurs par jour, et les accompagne dans leurs projets, fragiles comme des bourgeons, et finalement plus forts que tout. « Une métaphore qui se suffit à elle-même », indiqueEmmanuelle Garnier (Banque Populaire). Pour évoquer son premier film publicitaire, Thomas Cailley, réalisateur du Règne Animal.
Thomas Cailley : « cette idée de contamination d’un espace urbain par le végétal et le floral m’a beaucoup touché »
INfluencia : vous avez déjà été sollicité par des agences de publicité, et toujours refusé, qu’est-ce qui vous a fait accepter ce projet ?
Thomas Cailley : j’ai été sensible à quelque chose que portait le script d’humain et de lumineux. Par ailleurs, je crois que la métaphore végétale florale m’a touché. J’ai trouvé intéressante cette idée de contamination d’un espace urbain par quelque chose de vivant. C’était un défi pour moi de filmer cela, de mettre en image cette transformation.
IN. : il s’agit là d’un travail de commande, est-ce facile pour un artiste à l’univers très personnel de travailler de la sorte ?
Th.C. : je ne fais rien à reculons. J’avance avec mes convictions. Si je me sens soutenu dans mes propositions, je suis partant.
IN. : comment s’est déroulé le travail avec l’agence ?
Th.C. : cela s’est extrêmement bien passé, ce sont des gens ouverts, intelligents et le dialogue a été riche. Ils étaient curieux de ce que je pouvais proposer et très ouverts à ce que je voulais créer. Nous sommes très vite tombés d’accord sur le fait de tourner ce film en décor réel comme je le souhaitais. En même temps, je savais que cela allait payer, mais que ce n’était pas hypersimple à obtenir avec la lumière du soleil… On s’est donc mis assez vite d’accord sur le choix de Lisbonne, pour la lumière, le relief, la géographie des rues, la diversité de l’architecture. Et puis je voulais absolument combiner le réel transformé par les SFX et aussi par de vraies fleurs, et du digital… Faire en sorte que le film se présente comme une sorte de vague allant crescendo vers un univers fantastique. Le fait de partir d’une situation réaliste, cette fleuriste humble, qui s’installe, et ensuite lâcher les amarres pour partir vers quelque chose de plus fantastique me paraissait assez merveilleux. Et pour moi ce geste là, c’était le plus compliqué à obtenir. Je pense que s’il n’y avait pas eu de d’accord là-dessus, j’aurais certainement laissé tomber, mais nous étions d’accord.
IN. : travailler avec une agence, un client comporte des compromis, le pari de la liberté n’a pas été entravé dans ce cas présent…
Th.C. : je ne sais pas, c’est ma première expérience (rires) et de fait, les réunions, la semaine de préparation à Lisbonne et le tournage qui a duré trois jours étaient une belle aventure. Ensuite, la post-production, vous savez ce que c’est, elle s’égrène dans le temps, d’autant qu’il y avait pas mal de travail. J’avais déjà collaboré avec Mac Guff sur Le Règne Animal, c’était un plaisir de bosser avec eux. Je leur fais absolument confiance et c’est une belle relation.
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Crédits
ANNONCEUR : BANQUE POPULAIRE
Directeur de la communication Banque Populaire : Laurent Buffard
Directrice de la marque Banque Populaire : Emmanuelle Garnier
Directrice publicité et image : Sebastien De Cagny
Responsables publicité et image : Simone Moreau-Agarez, Charlotte Duteil
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