Romance et Intermarché dédient un opus à la gamelle qui permet de manger moins cher…
« Les achats de produits frais plongent, surtout chez les foyers les plus modestes. » selon le baromètre Kantar&LSA. C’est dans ce contexte qu’Intermarché poursuit son combat « d’aider les Français à manger un peu mieux tous les jours ». Une fois encore l’enseigne se préoccupe de la vraie vie des gens, des changements de la société et de ses bouleversements. Le repas du midi en est un.
Le repas du midi au boulot, le tup, la lunch box, la gamelle, voilà de quoi on parle. 63% des Français actifs cherchent à réduire ou mieux maitriser le budget de leurs repas du midi. Pour y arriver 58% d’entre eux ont choisi de cuisiner chez eux des plats pour les apporter au travail. Et 16% sautent parfois des repas. 71% ont apporté au travail leur plat cuisiné à la maison lors des 12 derniers mois. 74% le font parce que ça coûte moins cher, 45% car c’est meilleur et a meilleur goût, 42% car c’est meilleur pour la santé.
Intermarché et Romance ne nous racontent pas un contexte économique mais nous plongent dans la vie d’une France souvent invisible. Celle que Jérôme Fourquetet Jean Laurent Casselydépeignent dans leur livre –La France sous nos yeux– « L’ouvrier de la logistique a remplacé l’ouvrier d’usine (…) Dans la France d’aujourd’hui, les salariés des entrepôts occupent, avec les autres travailleurs de la logistique, une place centrale au sein de la nouvelle constellation populaire (…). »
Ici, c’est l’histoire de Pierrot, un docker bourru au coeur tendre qui aime cuisiner pour lui et sa femme avec qui il prépare avec amour et précision chaque semaine ses gamelles pour sa pause déjeuner. Ses collègues, eux, se débrouillent et ont privilégié la facilité : des pizzas, des burgers, des sandwichs. Mais voilà, Pierrot cuisine trop bien, et quelqu’un a décidé de lui piquer chaque jour sa gamelle. Ça fait beaucoup rire sa bande de potes. Lui moins. Après une enquête peu probante, Pierrot a un plan. Ici commence l’intrigue : mais qui a volé la gamelle de Pierrot ?
Le nouvel opus de la saga, initiée en 2017 avec « L’amour, l’amour », et réalisé par Katia Lewkowicz, nous touche comme tous les autres films par sa capacité à raconter une histoire avec authenticité et délicatesse. Une histoire d’amitié, de partage entre ceux qui se serrent les coudes. Un film doux, gai et lumineux. Comme toujours, la musique est un personnage clé de l’histoire et donne son nom au film. Intermarché et Romance ont choisi « Ça s’éclaircit devant » du jeune artiste Mathieu Des Longchamps. ENFIN. Un titre dans l’air du temps -pour les plus optimistes- qui donne de la force et aussi l’envie de chanter en cuisinant sa gamelle « Je sens que ça s’éclaircit devant, et que le futur aura fière allure ».
« C’était un défi de raconter une histoire positive et légère dans un contexte qui n’a jamais été aussi dur pour les Français contraints de devoir compter et arbitrer ce qu’ils mangent. Le casting d’une grande justesse retranscrit l’émotion de cette solidarité. Ce film puissant par ce qu’il dégage d’humanité. C’est en plus un univers que l’on n’a pas l’habitude de voir dans les écrans de publicité. » explique Alexandre Hervé, Directeur de Création chez Romance.
«Pouvoir rendre accessible le poisson, la viande, les fruits et les légumes, quand les Français en ont le plus besoin, c’est bien le combat d’Intermarché, ça sert à ça d’être Producteurs et Commerçants. On a immédiatement adoré cette histoire quand Romance nous l’a racontée, car elle réussit le tour de force de porter un sujet proche des problématiques de précarité et de pouvoir d’achat avec beaucoup de joie, et de tendresse » , ajoutePerrine Vignon, Adhérente Marque et Communication.
Le film « Ça s’éclaircit devant » est diffusé depuis le 9 Avril en version 2 minutes et 60’’.
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