14 avril 2020

Temps de lecture : 2 min

« La richesse d’une agence ce sont ses hommes. »

Jean-François Sacco, co-fondateur de l'une des agences les plus créatives de la place nous offre ses paroles de résistant. Ces quatre semaines, cette cinquème qui démarre sont une épreuve, mais la simplicité du message, et sa foi en ses équipes montrent à quel point certains savent ce que sont les liens et pourquoi les hommages sont précieux...

Jean-François Sacco, co-fondateur de l’une des agences les plus créatives de la place nous offre ses paroles de résistant. Ces quatre semaines, cette cinquème qui démarre sont une épreuve, mais la simplicité du message, et sa foi en ses équipes montrent à quel point certains savent ce que sont les liens et pourquoi les hommages sont précieux… 

En effet, nous qui nous rendions tous les matins à l’agence depuis huit ans sans nous poser de questions, venions de réaliser que d’un coup ce n’était plus possible. Le temps d’un week-end, nous n’avions plus de lieu pour nous réunir, pour nous retrouver et pour nous rassembler. La structure de l’agence de publicité, telle que l’avait conçue Bill Bernbach, David Ogilvy ou Philippe Michel avait explosé. Ce lieu magique où se croisaient commerciaux, créatifs, planeurs, producteurs et clients, n’était plus. Cet espace d’échange, de confrontation, de partage et de rencontre semblait définitivement perdu …

Une constellation d’entités en relation

Enfin pas complètement car ce lieu physique qui avait cessé d’exister du jour au lendemain s’était mué en une myriade de postes de travail disséminés aux quatre coins de la France. Une constellation d’entités uniques reliées entre elles par des logiciels de visio-conférence. L’agence s’était réinventée en une multitude d’agences, et de fait en s’appuyant sur ses hommes, prouvait qu’elle existait largement au-delà de son lieu.

Alors les réunions pouvaient reprendre avec la même envie qu’avant et les projets de continuer de se développer et de s’élaborer sans qu’il y ait eu finalement d’interruption. Et même si nos échanges se font désormais par écran interposé, il y a toujours cette même « passion » et même « folie » propices à la naissance de grandes idées. Nous sommes même parvenus à recréer des apéros virtuels tous les jeudis soir. Bref l’esprit de «Rosapark» était toujours là et l’envie d’inventer et de créer des idées fortes pour servir nos clients, n’avait jamais été aussi présente.

Alors malgré la dureté de la situation, cette expérience nous donne beaucoup d’espoir.

Elle nous montre, annonceurs, agences, ou médias, que la véritable richesse d’une entreprise ce sont ses hommes. Tant qu’ils sont là et répondent présents avec leur envie, leur courage et leur engagement, l’entreprise est protégée et ressortira plus grande et plus conquérante quand viendra le jour de l’après crise.

Et ça tombe bien, chez Rosapark notre capital humain, c’est notre plus grande chance.

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