Un ami chef d’entreprise avouait récemment à PPC être plutôt désemparé face à la nouvelle génération, face à ces jeunes collaborateurs ou collaboratrices qu’il est nécessaire pour lui de recruter dans son entreprise. Il lui disait avoir des difficultés à les comprendre, parce qu’ils ne fonctionnent pas comme nous pouvions le faire à leur âge. Il lui disait aussi la difficulté que rencontrent ses cadres quarantenaires ou cinquantenaires qui ont bien du mal à comprendre cette nouvelle génération née avec le digital. Ils ont du mal à bosser avec eux, ils ont aussi du mal à les manager.
La nouvelle génération que les entreprises s’arrachent ? Cette nouvelle génération a des exigences affirmées en matière de salaire, de part variable, d’avantages aussi. Cette nouvelle génération de collaborateurs a aussi des exigences sur le sens à donner à son travail. Elle a des exigences en matière d’horaires de travail, de nouvelles exigences sur la relation aux autres, à la société et à la planète aussi. Pas simple de les recruter, pas simple de les manager et pas simple de les garder.
Que veulent les jeunes ? Qu’attendent-ils des entreprises, de leur patron, de l’équipe avec laquelle ils vont être amenés à travailler ? Les réponses ne sont pas si évidentes et les jeunes eux-mêmes n’ont pas tous, les mêmes attentes et les mêmes exigences vis à vis du monde de l’entreprise.
Pour bien comprendre ce qui change dans le modèle dans le recrutement et le management de la nouvelle génération, l’invité de PPC dans cet épisode du podcast est Jacques Froissant, le CEO et fondateur du cabinet de recrutement Altaïde.
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