La fête d’Halloween approche et avec elle une tripotée de spots publicitaires pour qui donne l’eau à la bouche. Haribo n’y échappe pas et dévoile déjà sa campagne 100% digital stimulant l’imagination et la parole de ses premiers consommateurs : les enfants. A savourer sans modération.
« Un bonbon ou une farce », le refrain est éternel. Chaque 31 octobre, la célébration d’Halloween engendre une horde de petits garnements déguisés et diablement créatifs pour soustraire à leur voisinage des friandises de toutes les couleurs et de toutes les tailles. À tous les rabats joie qui ne se plieraient pas à la tradition, c’est avec des oeufs lancés sur leurs chaumières que ces -gentils- monstres les récompenseront.
Dès lors, pour toute famille terrorisée à l’idée d’être victime de leur courroux, reste à se demander quels bonbons acheter ? Avec approximativement 600 marques proposées uniquement dans l’hexagone, le choix peut vite se transformer en calvaire ! Soucieuse de vouloir se démarquer du reste de ses concurrents comme Carambar et M&M’s, Haribo signe, cette année, une prise de parole digitalement originale. Preuve que le sachet est aussi important que la confiserie.
Une fête à déguster sur les réseaux sociaux
Alors qu’Halloween représente pour les confiseurs l’un des plus gros temps forts commerciaux après Noël et le Jour de l’An, l’agence MNSTR a imaginé pour Haribo une campagne qui dépasse le traditionnel merchandising promotionnel. 25ème marque la plus puissante en France, selon une étude BAV Consulting, cette dernière souhaite transcender son simple rôle de fournisseur pour se muer en véritable acteur de la fête. Elle a donc laissé carte blanche aux enfants eux mêmes pour imaginer des histoires mettant en scène ses produits. Pour l’occasion, Dragibus, Miami PIK, Croco, Tagada et Happy Box deviennent les terrifiants bonbons d’Halloween : DragiVampires, MiaPIK, CrocoBarjo, TagaDingo et HappyMonstre.
Ces contes de bonbons devenus monstres sont à découvrir dans trois vidéos de 30 secondes mettant en scène les petits Ebene, Sofiane et Théo, et en réalité augmentée sur les emballages grâce à l’application Haribo Halloween permettant ainsi à chacun.e de poursuivre les histoires dévoilées dans les films, de les pousser et les narrer de toutes les façons possibles. Chacune d’elles étant illustrée au mot près par l’artiste Nicolas Barrome Forgues, artiste parisien reconnu pour son univers fantaisiste et coloré.
Une expérience immersive, un jeu d’enfant
« Tout l’enjeu était de faire d’Haribo une marque actrice de la ferveur d’Halloween, en allant au-delà de la traditionnelle citrouille apposée sur un pack », explique Lionel Curt, fondateur de MNSTR « Quant à l’axe du storytelling, l’objectif est de générer de l’interactivité avec les clients. Si on arrive à les inspirer avec notre histoire, on devient acteur de leurs conversations ». Avec cette expérience immersive, Haribo passe de simple confiseur à acteur engagé… dans la fête.