26 avril 2015

Temps de lecture : 1 min

Quand les marques de luxe s’humanisent

Dans le BSLTK Replay n° 115, nous évoquions la propension des marques de luxe à capitaliser sur leur héritage. Dans la même lignée, revendiquer un savoir-faire est un code propre à l’univers du luxe. Il est notamment très prégnant en horlogerie-joaillerie, à l’image de Chanel qui diffusait récemment une vidéo sur sa collaboration avec la maison Lesage.

Dans le BSLTK Replay n° 115, nous évoquions la propension des marques de luxe à capitaliser sur leur héritage. Dans la même lignée, revendiquer un savoir-faire est un code propre à l’univers du luxe. Il est notamment très prégnant en horlogerie-joaillerie, à l’image de Chanel qui diffusait récemment une vidéo sur sa collaboration avec la maison Lesage.

Jusqu’à présent, la communication autour du crafstmanship se limitait pourtant à des gros plans de mains s’affairant à leur tâche minutieuse. En 2015, le discours s’incarne et s’humanise. Fières de leur talent, les petites mains prennent la parole, comme ces sœurs jumelles qui confectionnent des chemises sur mesure pour Turnbull & Asser depuis 1964. Le luxe chercherait-il à se rendre plus accessible ? Récession oblige, le bling fait moins rêver et les marques se tournent vers des valeurs plus low profile. Les égéries mondialement connues cèdent leur place à des inconnus touchants de simplicité et de normalité, comme chez Hugo Boss, qui, pour le lancement du parfum BOSS BOTTLED, a choisi de shooter six étrangers incarnant les hommes d’aujourd’hui.

 

 

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