A la faveur du plan d’investissements dans les compétences (15 milliards d’euros sur 5 ans), on forme désormais 1,2 millions de demandeurs d’emploi chaque année, vers 600 à 650 000 précédemment.
Le plan d’investissement dans les compétences a un double objectif : former des personnes éloignées de l’emploi (jeunes en insertion, personnes en recherche d’emploi…) et apporter des réponses aux besoins des entreprises qui subissent de fortes tensions et rencontrent des difficultés pour recruter. Cela passe par de l’innovation (appel à projets), de l’investissement et de l’expérimentation. L’action du Haut-Commissariat passe par le soutien aux pratiques innovantes de terrain : sortir des approches académiques, faire en sorte que la formation soit attractive…
le digital et l’IA permettent d’individualiser les parcours de formation , et de mettre en place des mises en situations immersives, afin d’apprendre sans le jugement d’autrui.
A la faveur du plan d’investissements dans les compétences (15 milliards d’euros sur 5 ans), on forme désormais 1,2 millions de demandeurs d’emploi chaque année, vers 600 à 650 000 précédemment.
Concernant le numérique (80 000 postes non pourvus chaque année), il faut former plus et diversifier les profils (faire de la place aux femmes grâce par exemple, aux profils expérimentés…).
Par ailleurs, le digital et l’IA permettent d’individualiser les parcours de formation , et de mettre en place des mises en situations immersives, afin d’apprendre sans le jugement d’autrui.
Nous allons changer de métiers entre 6 et 9 fois dans notre vie. Pour les publics cadres, ces mobilités sont vécues comme un parcours ascendant, assez naturel. Pour les publics non cadres, cela peut faire peur, et certaines mobilités non voulues peuvent être vécues comme des accidents de parcours. Il est donc nécessaire de rassurer et de facliter l’accès à la formation, sans pour autant la banaliser.