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23 avril 2014
Temps de lecture : 1 min
Le monde du luxe s’amuse bien cette semaine à Londres. La capitale britannique, souvent initiatrice de tendances, nous offre ce printemps des expériences loufoques, parfois à la limite du bon goût. Blagues potaches, jeux de mots douteux… Peu importe ! Aux antipodes des codes du secteur, certaines marques et designers n’hésitent pas à jouer à outrance sur l’auto dérision et à revendiquer de surprenantes voire improbables collaborations mainstream.
Il flotte dans l’air comme une envie de ruer dans les brancards de la bienséance et de rompre outrageusement avec l’obligation de générer ce rêve inaccessible qui souvent rime avec ennui. Un coup de griffe au contrat qui libère les pulsions créatrices et les place sur le devant de la scène sans souci de discrétion ou peur du rejet. Assumée, cette identité d’un autre genre se moque du qu’en dira-ton et dédie clairement sa communication disruptive aux jeunes générations, toujours en quête de sensations nouvelles.
Sophie Perrier, content manager @ Balistik#Art
Rubrique réalisée en partenariat avec Balistik#Art
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