1.Trouver un job d’été sur Tinder ? C’est maintenant !
Plutôt que de rencontre l’âme sœur, Tinder vous propose jusqu’au 31 juillet de trouver un… job… A première vue, comme ça chez INfluencia on s’est dit, « drôle d’idée », et puis en fait, l’opération nous est apparue comme étant plutôt maline… Tinder s’est associé avec le Service d’Information du Gouvernement, et lance donc une campagne pour aider ses utilisateurs en France âgés de 18 à 25 ans à trouver un job d’été via la plateforme gouvernementale 1jeune1solution.
Concrètement, ces jeunes verront apparaître dans l’application plusieurs Swipe Cards qui les dirigeront directement vers la plateforme 1jeune1solution initiée par le HC3E, où ils pourront trouver un ensemble d’offres de jobs d’été leur correspondant. Emploi, stage, formation, mission de Service Civique, etc. A l’approche de l’été, cette initiative, qui a déjà aidé plus de 6 millions de jeunes dans leur recherche d’offres d’emploi, de stage ou d’alternance, centralise des milliers d’offre d’emplois saisonniers dans des secteurs divers : hôtellerie, restauration, aide à domicile, etc.
Pas mal vu après deux années de Covid…
Cette collaboration s’inscrit dans un dispositif gouvernemental qui travaille avec l’ensemble des acteurs de la société, entreprises, acteurs de proximité, plateformes, médias et association pour en faire des relais et par là amplifier la visibilité des outils déployé par l’Etat. Du côté de Tinder, le fait de donner accès au site 1jeune1solution est on ne peut plus cohérent et complémentaire avec sa mission initale… « permettre aux jeunes d’accéder au soutien nécessaires pour postuler à un job d’été, acquérir une expérience professionnelle de manière simple et intuitive nous a paru évident » a déclaré Benjamin Puygrenier, porte-parole de Tinder France.
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2.N’achetez plus rien, Murfy répare tout nous suggère Buzzman
Bien joué, une fois de plus, quoique un peu téléphonée… La nouvelle campagne d’affichage de Buzzman pour Murfy saura-t-elle surprendre les badauds? C’est en tout cas l’objectif de ces quatre visuels qui visent à faire changer d’avis ceux qui veulent acheter de l’électroménager…
L’opération a au moins un mérite, celui de nous faire lever le nez du guidon à Nantes depuis le début du mois de juin. Et dans toute la France dès maintenant. Elle est appuyée par un dispositif radio, display et VOL.
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3.TikTok s’engage à protéger les ados de leurs vilaines habitudes
Aider les adolescents à mieux gérer leur temps d’écran sur l’application TikTok? . Voilà une idée qui ne manque pas de piment… Comment en effet, contraindre les jeunes esprits à se contraindre sur le temps passé à fixer des images qui bougent? En tout cas à partir de juillet, les utilisateurs âgés de 13 à 17 ans qui auront utilisé l’application pendant plus de 100 minutes en une seule journée recevront des messages hebdomadaires leur présentant les outils de limitation de temps d’écran disponibles sur la plateforme. Suffisant? Non mon capitaine. Alors, pour aider sa communauté à réfléchir à ses habitudes numériques, TikTok publiera un nouveau guide sur son Centre de sécurité destiné à encourager nos jeunes amis à réfléchir de manière plus globale à la façon dont ils passent leur temps en ligne… Seront-ils conscientisés pour autant? Décideront-ils de ce qui est bon pour eux? Attendons les retours de cette initiative louable…
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4.On adore la lettre de L’enfant bleu qui interpelle les investisseurs de la tech !
Pépite. Les startups lèvent chaque jour des millions d’euros à travers la France et elles sont soutenues par les plus grands investisseurs français. L’Enfant Bleu, avec son mécène l’agence Havas Play, décide de partir à la recherche de financements en interpellant les plus grands investisseurs de France. Car comme toute startup qui se respecte, l’Association porte également une mission, celle de prévenir nos enfants contre toutes formes de violences et changer l’avenir de ceux ayant été maltraités…
Depuis hier, l’Association prend donc la parole dans les grands titres de la presse écrite via une lettre ouverte signée par sa Présidente, Isabelle Debré. Celle-ci interpelle directement les plus grands investisseurs de France en leur demandant de s’engager dans la cause défendue par l’Association depuis plus de 30 ans. En parallèle, cette campagne se développe ensuite à destination du Grand Public avec une série de 3 visuels qui jouent sur le vocabulaire des startups et des investisseurs et qui invitent tous les Français à «investir» dans la protection de l’enfance en soutenant l’association via leur don.
Pour rappel, tous les cinq jours en France, un enfant meurt sous les coups d’un proche et ce chiffre est très certainement en dessous de la réalité. Pendant les confinements successifs, les enfants ont été particulièrement exposés aux violences intrafamiliales, générant une forte croissance des signalements, amplifiée ensuite par le mouvement #metooinceste.
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5.Reech lance le certificat de l’influence responsable !
La 6ème édition de l’étude annuelle de Reech, révèle que 84 % des annonceurs estiment que les influenceurs apportent de la valeur aux marques avec lesquelles elles travaillent, mais selon l‘Observatoire de l’Influence Responsable conduit par l’ARPP en 2020, plus d’un contenu sur quatre n’était pas transparent sur la collaboration commerciale. Face à ce constat, la profession a répondu en lançant ce certificat à destination des créateurs de contenus. Cette nouvelle brique d’intervention de Reech permet à la fois d’encourager les influenceurs à adopter une démarche de transparence et d’inciter les annonceurs à travailler de plus en plus avec des influenceurs certifiés lors de l’élaboration de leurs campagnes d’influence marketing. Et toc !
Les chiffres de l’influence
- 10% des annonceurs sondés déclarent ne pas faire de partenariats avec des influenceurs non certifiés.
- 42% d’entre eux attestent que ce sera un plus appréciable.
- Si seuls 27% des répondants déclaraient avoir connaissance de ce nouveau certificat, il semble être reçu comme un outil utile. 53% des participants ont l’intention de s’appuyer dessus à l’avenir et 31% attendent encore de voir son application pratique
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6.WPP encourage ses salariés à devenir solidaires
C’est fou ce qu’il se passe au royaume de la communication… Alors que la plupart des agences proposaient (il n’y a pas si longtemps) à leurs collaborateurs de jouer au babyfoot ou de taguer les murs pour se détendre, il est désormais de bon ton de les engager à être généreux et à soutenir des causes… Afin de contribuer activement et collectivement aux enjeux mondiaux, donc, WPP France (25 agences, 2 400 collaborateurs) annonce le lancement de son programme We Care & We Act, en partenariat avec Wenabi, plateforme d’engagement solidaire des entreprises. L’occasion pour ses collaborateurs de participer via la plateforme collaborative, à des initiatives solidaires. Chaque collaborateur du groupe peut désormais choisir de soutenir une cause qui lui tient à coeur et consacrer bénévolement de son temps – professionnel ou personnel –pour une mission solidaire. Ponctuelles ou régulières, en présentiel ou en distanciel, les missions proposées sont nombreuses et variées. En fonction de leurs affinités, les collaborateurs pourront ainsi choisir de distribuer des repas pour l’Armée du Salut, de collecter des biodéchets en vélo pour ELLSA, de trier des livres pour Bibliothèques Sans Frontières ou encore d’accompagner un jeune dans son parcours scolaire avec JobIRL.
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7.Goodeed fait payer les annonceurs sur le web
Décidément, ça bouge sur les réseaux sociaux. Cette année et pour la première fois, les annonceurs dépenseront leurs budgets publicitaires davantage sur ces derniers que dans le print, avec un total dépensé de 84 milliards de dollars. Et si ces investissements participaient à financer des associations hein ? Goodeed, en collaboration avec l’agence We Are Social, lance un nouveau format solidaire spécialement conçu pour les campagnes social media. Intégré directement sur les feeds spécialement adapté aux plateformes Instagram, Snapchat et Facebook, le nouveau venu permet de soutenir des associations grâce aux publicités générées sur ces 3 réseaux.
En plus d’apporter son soutien à une association, la marque fait savoir qu’elle s’engage pour la cause qu’elle a choisi, renforçant ses engagements RSE et son capital sympathie auprès des communautés digitales. We Are Social a accompagné Goodeed dans la création de ce nouveau format.