INfluencia: expliquez-nous le personal branding et le social branding version Rosa Rise ?
Lauren Weber-Staricky : en fait, l’idée de ce concept bien connu dans les pays anglo-saxons, -car identifié et formalisé comme tel-, est nouveau en France. Il est né d’une envie de ma part de développer des clients sous un angle personnel et créatif reposant sur la philosophie de Rosa Paris. Lorsque j’en ai parlé aux « garçons » (Jean-Patrick Chiquiar, Gilles Fichteberget jean-François Sacco), ils m’ont donné carte blanche. Il y a maintenant sept clients qui font appel à Rosa Rise, dont trois que j’ai développé en « solo »… et qui sont de potentiels clients pour l’agence mère.
IN. : l’intraprenariat n’est pas une notion si commune au sein de la com. Quel est son intérêt ?
L.W-S. : je pense que Rosa Paris a compris que les individus aujourd’hui ne souhaitaient plus forcément rester dans des cases, mais ont chaque fois plus l’envie d’y mettre du leur, de leur «âme », en créant des concepts à même de développer leur business à terme (ou pas). Pour moi c’est une chance, car je ne me serai pas lancée seule dans l’aventure et que ce groupe est un écrin idéal pour y être soi en participant au développement de la marque Rosa Paris.
IN. : vous évoquez vos derniers clients remportés récemment…
L.W-S. : Pépette, start-up spécialisée dans l’alimentation fraiche pour chiens et chats. Edmond de Rotchild Héritage (branche art de vivre du groupe Rotchild). Romain Roy fondateur de Greenweez, Hugo Legrand Nathan, pour sa maison de production Birth.
IN. : quels sont les objectifs de Rosa Rise pour 2022-2023 ?
L.W-S. : je croise les doigts, 2022-2023 devraient confirmer ces débuts prometteurs. Grâce au bouche à oreille, notamment, Rosa Rise se positionne bien. Par ailleurs nous sommes désormais trois au sein de cette structure… Alors souhaitons-nous bonne chance!