Havas Play nous fait traverser Paris, avec Jean, un concierge porteur de « la glace » olympique Accor ! Un régal
Accor, Partenaire Premium de Paris 2024, dévoile sa campagne publicitaire pour les Jeux de Paris 2024. Cette campagne s’articule autour d’un film principal réalisé par Vincent Lobelle (Iconoclast), de deux formats courts et d’un visuel shooté par Aurélien Chauvaud. Un délicieux avant-goût de ce que seront les Jeux olympiques 2024. À découvrir ici et aujourd'hui en télévision. Pour parler de ce marathon qui a démarré pour les équipes le 4 novembre 2021, Fabrice Plazolles, Directeur de création de Havas Playet Stéphanie Dartevelle, VP Sponsorship Europe North Africa Accor.
INfluencia : Accor communique rarement, aujourd’hui l’occasion d’être présents à ces Jeux est pour ainsi dire unique. Quel était le brief du Président d’Accor ?
Fabrice Plazolles : Le Brief de Sébastien Bazin, -« je veux le film le plus marquant des Jeux olympiques et paralympiques, la démonstration de notre excellence, et montrer la plus value du groupe Accor » nous a mis une certaine pression, mais nous avons pris beaucoup de plaisir à lui raconter les scripts dans la salle du conseil d’administration et de voir sa réaction. Il avait entre 15 et 30 minutes à nous consacrer, et nous devions l’embarquer dans cette comédie, à la fois drôle, performante, en parfaite harmonie avec la grandeur des JO… Le spot où Jean, notre héros Accor traverse Paris en courant, en évitant les obstacles et en faisant de son exploit, un exercice digne de l’événement à venir, avec une efficacité, une élégance, et un dépassement de soi digne de «l’olympisme » pour rapporter une glace à la petite fille qui en a laissé une autre tomber par terre.
Stéphanie Dartevelle : ce concierge qui accomplit sa mission contre vents et marées, est parfaitement insighté en regard de notre métier qui consiste à faire vivre des expériences mémorables à nos clients tous les jours.
IN. : quels autres messages vouliez-vous faire passer ?
S.D. : l’accessibilité de nos établissements nous tient à cœur, et notre programme de 300 hôtels labellisés Tourisme et Handicap sera finalisé d’ici la fin de l’année. Une mission qu’illustre très bien le deuxième spot où cette jeune fille rapporte son appareil photo à un monsieur en situation de handicap qui s’apprête à prendre l’ascenseur.
Donc, oui, nous travaillons dans le sens de ce que l’on appelle dans notre jargon, le « soft », c’est à dire la manière d’accueillir, et avons à travers cette campagne le pouvoir de démontrer notre savoir-faire, notre expertise, notre excellence opérationnelle, pour la satisfaction des clients quelques soient les lieux où nos clients seront.
IN. : alors cette glace est… une flamme, celle qui traverse Paris avant l’heure dans la main de Jean, ce concierge dévoué corps et âme à son métier et qui ne lésine pas sur la tâche à accomplir ?
F.P. : (rires) non, c’est une glace… Dans ce film, nous expliquons que tous chez Accor se dépassent pour leurs clients, afin qu’ils vivent des émotions, des expériences, et aient des souvenirs inoubliables comme ceux que les JO leur procureront. Il nous a fallu plusieurs mois pour parvenir à ce film très abouti réalisé par Vincent Lobelle.
IN. : l’association entre hôtellerie et performance sportive était-elle évidente à imaginer ?
S.D. : oui, c’est une association naturelle, l’expertise hôtelière et la discipline sportive, sont toutes deux exigeantes, continues, elles ne souffrent pas l’à peu près, cela s’est donc fait très naturellement. Nous faisons rayonner notre ADN, c’est à dire le fait de de délivrer notre expérience opérationnelle aussi bien dans les hôtels mais aussi demain pendant les jeux au niveau du village des médias et des athlètes donc tout cela concorde parfaitement.
IN. : vous dites avoir travaillé sur deux pistes, l’une plus émotionnelle, et celle de cet humour irrésistible de la course d’obstacles de Jean….
F.P. : au terme de quelques semaines d’argumentations, de discussions, de compréhension aussi de l’état d’esprit de Sébastien Bazin et de ses équipes, nous avons travaillé plusieurs mois, tourné et sommes revenus avec le produit fini, qui de l’avis de tous suscite et accentue l’empathie pour la marque Accor, immense groupe qui se permet la proximité, l’humour.
IN. : ces films doivent toucher plusieurs publics, expliquez-nous.
F.P. : cet objet publicitaire devait susciter la fierté aussi bien chez ceux qui sont au siège, qu’aux employés de l’enseigne composée d’hôtels dont les positionnements sont très différents, tels que Pullman, ou Novotel. Enfin, il fallait dénicher l’histoire qui ferait aussi vibrer le grand public, et ces centaines de touristes qui vont affluer en France, afin de les faire revenir.
S.D. : effectivement, comme l’explique Fabrice, un partenariat comme celui-là, nous permet d’activer trois dimensions. Nos clients, nos parties propriétaires et l’interne bien évidemment, en intégrant notamment dans le casting des films des collaborateurs. Ceux qui courent parmi la foule dans le film central… ou la jeune fille qui, pour éviter la tâche de soupe sur le tee-shirt de la petite fille, fait des flips. C’est vraiment une manière originale de recruter des collaborateurs. Les clients eux, il est effectivement certains que nous les appelons à revenir dans nos hôtels…
IN. : le style est volontairement cinématographique, élégant…
F.P. : oui, cela nous semblait évident de travailler cet aspect cinématographique, comme un générique d’une série des années 80-90 avec ce rythme à la Magnum, avec en tête évidemment la modernité, d’où le choix de Vincent Lobelle qui a une belle image très craftée. Un comédien aussi, le fil conducteur du film qu’on ne lâche pas du regard, extrêmement charismatique puisque Accor est une marque premium. La course poursuite devient ainsi une performance qui chaque fois rassemble plus de monde, qui fait du buzz sur les réseaux. Ce concierge devient un héros malgré lui, c’est aussi cela qui nous intéressait. Il est acclamé, mais pour lui, rendre service jusqu’au bout, c’est naturel. Il démontre à lui tout seul cette hospitalité reconnue d’Accor.
IN. : un tournage dans Paris au mois de mai, était-ce risqué ?
F.P. : Paris se rétrécit de jour en jour, pour les productions c’est compliqué, mais Iconcolast a su jouer entre les zones. Heureusement que nous avons tourné en mai !
IN. : quid du climat politique actuel, quelle est son incidence sur ce projet ?
F.P. : le climat actuel n’est pas ultra friendly. Il y a beaucoup de divisions, l’idée est de se dire qu’aujourd’hui dans un monde qui est de plus en plus conflictuel, de plus en plus clivant où chaque sujet provoque des tensions, il fallait rompre. Donc, il y a toujours des endroits de passion, cela peut-être le sport, la musique, le gaming, les programmes télévisés, que l’on soit de droite ou de gauche. Nous allons partager des émotions autour des Jeux olympiques qui rassemblent la moitié de l’humanité, en réalité, ce sera un climax. Un des événements au monde, si ce n’est l’événement au monde qui est le plus fédérateur, alors vibrons ensemble.
IN. : vous semblez penser que c’est habituel, cette manière de râler…
F.P. : lors des Jeux olympiques de Paris en 1924, les gens trouvaient les billets trop chers, ils disaient que cela allait les gêner dans leur vie quotidienne, les commerçants ruminaient sur leur business. Au final, j’ai l’impression, et j’en parlais à des collègues qui ont vécu les Jeux de Londres en 2012, que c’est toujours un petit peu pareil, à partir du moment où ça bouscule un petit quotidien, ça se plaint. À Paris, ce n’est pas hype de s’enthousiasmer, c’est plus hype de râler… Je n’ose imaginer les a priori sur les JO à Los Angeles en 2028… Je pense que lorsque les Jeux vont commencer, ce bruit va cesser.
S.D. : je pense oui, regardez l’influence qu’a eu l’arrivée de la flamme à Marseille. Moi je vais vous dire il y aura un avant, un après. Les Jeux olympiques et paralympiques vont apporter ce temps de joie et de bonheur que l’on peut avoir à travers de telles épreuves, c’est du dépassement de soi. Le sport est ce qui réunit, qu’on le veuille ou non.
IN : Lorsque les JO débuteront, dans un mois, les élections législatives seront closes. Estimez-vous que cela changera quelque chose à l’ambiance?
S.D. : je vais choisir la réponse de Tony Estanguet qui a dit « j’ai appris à me taire sur ce genre de sujet ». Donc je vais me taire. La seule chose certaine, c’est que tous les partenaires que nous sommes n’avons qu’un seul objectif, faire en sorte de réussir les Jeux parce que cela fera rayonner la France et c’est, je pense la seule raison qui vaille. Nous allons vivre une grande fête fédératrice où le monde entier va découvrir Paris. Des images qui marqueront l’histoire. Alors oui, certains disent c’est dangereux, compliqué, mais les images qui restent vont avoir un impact sur le monde.
IN. : enfin qui sont ces fameux Heartists dont vous parlez?
S.D. : les Heartists® qui dépassent leur fonction pour rendre le séjour de leurs hôtes encore plus mémorable, sont ce que Accor dit de son expertise, de son sens de l’hospitalité. Jean est un heartist, la serveuse qui fait preuve d’une dextérité étonnante pour empêcher une catastrophe, ou encore la réceptionniste qui ne reculera devant rien pour rapporter un appareil photo oublié à un client… est une Heartist, un peu comme les Danoneurs, ou les Evianers…
En savoir plus
A propos de Accor
Accor est un leader mondial de l’hospitalité proposant des expériences dans plus de 110 pays avec 5 600 hôtels, 10 000 restaurants & bars, des espaces bien-être ou encore de télétravail. Le Groupe déploie un écosystème parmi les plus diversifiés du secteur, grâce à plus de 45 marques hôtelières allant du luxe à l’économie, en passant par le lifestyle avec Ennismore. Accor s’attache à agir concrètement en matière d’éthique et d’intégrité professionnelle, de tourisme responsable, de développement durable, d’engagement solidaire, et de diversité & inclusion. Fondée en 1967, Accor SA, dont le siège social est situé en France, est une société cotée sur Euronext Paris (code ISIN : FR0000120404) et sur le marché OTC aux États-Unis (code : ACCYY). Pour plus d’informations, rendez-vous sur group.accor.com ou suivez-nous sur X, Facebook, LinkedIn, Instagram et TikTok.
Seront mobilisés pour l’opération,650 hôtels hôtes Accor sur les 1 700 hôtels en France.
Crédits campagne Accor
CEO Accor Europe & North Africa: Patrick Mendes
VP Sponsoring Europe & North: Stéphanie Dartevelle
Équipe projet : Béryl de Fayet, Vincent Laurent, Antoine Orsini
Les Newsletters du groupe INfluencia : La quotidienne influencia — minted — the good. Recevez une dose d'innovations Pub, Media, Marketing, AdTech... et de GOOD