Dès le mardi 23 juillet, une équipe de photographes a sillonné pour Gala Paris les sites olympiques de Paris 2024 tout juste découverts par les athlètes : la carrière des épreuves d’équitation dans le parc du château de Versailles, la salle d’escrime du Grand Palais, le site de tir à l’arc sur l’esplanade des Invalides, la piscine olympique installée à Paris La Défense Arena… Mercredi 24 juillet, les photos et vidéos des premières compétitions ont pu être captées avec les rencontres de football et de rugby à 7, qui ont notamment vu l’entrée au Stade de France d’Antoine Dupont, demi de mêlée du Stade toulousain. Jeudi 25 juillet, le people et le glamour ont pris le lead avec la soirée « Prélude aux Jeux olympiques » organisée à la Fondation Louis Vuitton, en présence de nombreuses personnalités, anciens sportifs, ambassadeurs de marques, coanimée par Pharrell Williams, Charlize Theron, Serena Williams, Rosalía et Omar Sy. Un round d’échauffement en quelque sorte avant la cérémonie d’ouverture vendredi 26 juillet et la publication du premier magazine sur papier glacé le 27 juillet.
Les 15 numéros du city guide seront tirés chaque jour à 15 000 exemplaires entre le 27 juillet et le 10 août, puis livrés entre 2h et 6h du matin dans une centaine de lieux de distribution : une soixantaine d’hôtels et de palaces parisiens (Crillon, Cheval Blanc, Plaza Athénée, Meurice…), une vingtaine de restaurants (Maxim’s, Mun, Loulou, Lapérouse…), dans les QG des partenaires officiels (au Club France à La Grande Halle de La Villette, au Pavillon LVMH, à l’Omega House…) mais aussi la fan zone de la Tour Eiffel et à la Mairie de Paris. Une version pdf sera disponible chaque soir à 22 heures.
Paris qui brille et Paris qui court
« Gala Paris est un vrai magazine lifestyle qui s’adresse à tous les publics intéressés par ce qui se passe dans Paris à l’heure olympique avec les photos du Paris qui brille dans les fêtes avec les personnalités, les coulisses des grands événements… et celles du Paris qui court avec les plus belles photos de sport et des portraits de champions », explique Matthias Gurtler, directeur de la rédaction de Gala. « Nous serons présents au plus près des événements pour des séquences couvertes dans le magazine et sur nos réseaux sociaux, ajoute Alexandre Maras, rédacteur en chef adjoint et artisan du succès de Gala sur les réseaux sociaux, notamment sur TikTok, où la marque compte 12,1 millions d’abonnés. Beaucoup de stars américaines et d’ambassadeurs de marques seront à Paris pour les JO. » Parmi ceux-ci figurent par exemple les acteurs Georges Clooney et Cindy Crawford, ainsi que le nageur Léon Marchand, ambassadeurs d’Omega (chronométreur officiel des Jeux olympiques depuis 1932), Nicole Kidman, ambassadrice de la Maison Balenciaga, mais aussi Céline Dion ou Lady Gaga.
Près de vingt partenaires annonceurs
Avec ses magazines publiés lors du Festival de Cannes, à Paris pour les JO et, dans la foulée, à la Mostra de Venise, Gala entend « démontrer l’agilité de la rédaction, tout en gardant l’objectif d’être profitable », souligne Matthias Gurtler. Gala Paris s’appuie d’ailleurs sur 18 partenaires annonceurs : les partenaires officiels des JO que la marque de presse connaît bien comme LVMH, Air France ou Orange, et d’autres qu’elle a rencontrés pour l’occasion tels que Danone, EDF ou Toyota. Le city guide abordera « sous forme d’infos » des sujets autour de l’histoire ou du rôle de ces partenaires : les dispositifs inventés par Omega, chronométreur officiel des JO depuis 1932, l’alimentation protéinée fournie par Danone dans le village olympique, l’électricité verte fournie au village olympique par EDF, les moyens de transports mis en place par Toyota pour le transport du dernier kilomètre des visiteurs… D’autres annonceurs sont liés à la vie culturelle parisienne comme le Lido, le Moulin Rouge ou la Fondation Louis Vuitton, ou des marques qui souhaitent tout simplement profiter d’un moment de médiatisation forte pour se faire connaître. Chaque numéro comptera 18 pages de publicité.
Un timing au cordeau
Compte tenu des conditions d’accès aux sites de distribution parisiens, pour la plupart situés dans l’Ouest parisien et non loin de la « zone rouge » – soit un périmètre bien plus difficile à livrer que sur le kilomètre de la Croisette à Cannes – le dispositif Gala Paris a dû être ajusté par rapport à la mécanique très huilée du Gala Croisette. Il compte 56 pages au lieu de 96 et mobilise une vingtaine de journalistes (contre 36 à Cannes en 2024). Ils se sont installés dès le 25 juillet rue de Provence dans les locaux du Figaro (propriétaire de Gala depuis fin 2023), un lieu plus central que la rédaction habituelle du 15e arrondissement. Le bouclage a dû être avancé de 2 heures du matin à 20h30 pour permettre au quotidien d’être imprimé à Compiègne puis être prêt à être distribué à partir d’une heure du matin à Paris.
Pour relever ce défi logistique, Gala s’est adjoint les services du Groupe ProPress, qui distribue déjà Le Figaro dans les hôtels parisiens. « La livraison est la principale difficulté et il fallait un prestataire qui ait toutes les autorisations pour passer », note Matthias Gurtler. Dans une quinzaine d’hôtels et palaces, le magazine sur papier glacé sera distribué en chambre avec le petit déjeuner « pour être au plus près d’une cible internationale ». La version numérique sera téléchargeable gratuitement sur l’appli du kiosque Figaro et sur gala.fr. Pour suivre les fêtes et les exploits en live, il faudra se rendre sur les réseaux sociaux !