Créée à Roubaix en 1956, la marque Damart, connue depuis plus de soixante cinq ans pour ses vêtements basic intemporels nés d’une innovation, le Thermolactyl, s’est longtemps développée sur le modèle de VADiste. « Aujourd’hui, l’entreprise se remet en cause avec beaucoup de courage, soutenue par l’implication de tous les salariés derrière leurs dirigeants », souligne Katie Willaume, directrice communication internationale de Damart qui rappelle que l’étude réalisée par ViaVoice pour le SCRP en avril 2020 montrait bien à quel point le dirigeant d’entreprise, concrétise et structure le discours de la marque et la transformation de l’entreprise. « La crise sanitaire et économique que nous vivons a confirmé la résilience de notre entreprise et a même été un accélérateur de notre plan de transformation », explique Katie Willaume (cf son interview vidéo ci-dessous). L’ ambition de l’entreprise est de réinventer l’image et le style Damart et son modèle pour accélérer son développement en France comme à l’international au travers d’une stratégie résolument omnicanale afin de devenir la marque référence du confort, leader sur le segment des sous-vêtements techniques.
Campagne signée Score DDB
Dès le mois de novembre 2020, une nouvelle campagne de communication signée Score DDB (déclinée en TV, display digital, réseaux sociaux) viendra soutenir la relance de la marque sur trois marchés historiques de Damart : la France, la Belgique et le Royaume-Uni. Côté mode, pour faire changer le regard sur Damart et affirmer une signature internationale, de nouvelles collaborations ont été passées avec de grands créateurs notamment Christian Lacroix. Le couturier français signe pour les fêtes de fin d’année, une capsule spectaculaire intitulée Soleil Rouge, mariant Thermolactyl et cachemire.
Un nouveau site marchand
L’amélioration de l’expérience client passera par un investissement de 15 millions d’euros dans les systèmes d’information : e-reservation, Click&Collect, et Allo résa, un nouveau service développé pendant le confinement pour les clients magasin. Un nouveau site marchand, plus performant, sera lancé avec pour objectif de faire passer les ventes en ligne de 15 % à 30 %. Sans oublier les points de vente (150 à ce jour, dont 93 en France et 57 en Belgique), dont le parc devrait s’accroître d’une quarantaine d’unités, en retail park ou en centre-ville. Un nouveau concept de magasin de 180 m2 est actuellement testé à Saint-Germain-en-Laye. La distribution BtoB, nouveau levier de croissance pour la marque, n’est pas oubliée et sera renforcée par le biais de partenariats avec des marketplaces leaders (Amazon, La Redoute, Sarenza). Enfin, l’international devrait à terme représenter plus de 50 % de l’activité de l’entreprise avec une accélération de la présence de marque en Allemagne, aux Pays-Bas, en Irlande (en cross border et pure player) et la marque envisage de signer des partenariats stratégiques pour conquérir les pays lointains.
Durant la crise sanitaire de ce printemps, Damart a été très présent
L’engagement, un champ d’intervention déjà fort de la marque depuis des années (pour exemple, le programme « Change Our World » ou encore la Fondation Damartex), se renforce sur la RSE et Damart veut s’engager sur le chemin de la mode durable. Dès l’hiver 2020, une collection de prêt-à-porter (ReGeneration) et un modèle de Thermolactyl seront produits à base de fibres recyclées et les sous-vêtements Thermolactyl seront garantis à vie. « Durant la crise sanitaire de ce printemps, Damart a été très présent et la marque a fait sa part », indique Katie Willaume qui souligne l’attente des collaborateurs de l’entreprise « de monter au créneau ». L’atelier de production de Roubaix s’est converti pour fabriquer des masques destinés au CHU de Lille. Des kits Thermolactyl ont été donnés à la Mairie. « Les collaborateurs Damart se sont également mobilisés pour appeler nos clients juste pour leur demander comment ils allaient et bavarder. Ces appels ont été vécus avec beaucoup d’émotion de part et d’autres », explique Katie Willaume.
Ps : retrouvez ici l’interview de Pascale Azria, Présidente du Syndicat du Conseil en Relations publics : « Nous avons eu raison de choisir l’engagement comme thème du PR Lab », ici l’interview de Sébastien Valentin, directeur de la communication du groupe Accor : « Acting for Good » : la « responsabilité sociale » du groupe Accor, ici celle de Firdaous El Honsali, Global Communications Director de Dove : « l’estime de soi reste au cœur des débats », ici celle de Loïc Yviquel, directeur général de ULULE et co-fondateur de So Good : « On a d’abord une raison d‘agir avant d’avoir une raison d’être » et ici celle de Marion Moulin, directrice de la communication corporate du groupe Rocher : « Entreprise à mission » : démonstration du Groupe Rocher