Beyoncé renonce aux clips mais pas à la pub : Levi’s lui offre un rayonnement mondial
Si la reine de la pop ne tourne plus de clips pour ses titres, elle profite néanmoins de la pub pour être toujours à l'écran (aux écrans, pardon) en réincarnant les clips de la marque mythique Levi's. Après le Chapter one, « Launderette », sortie du Chapter Two, "Pool Hall". Un deal gagnant-gagnant.
Vous aurez sans doute noté qu’il est impossible d’accéder à un clip de Beyoncé depuis Renaissance et Cowboy Carter... La chanteuse américaineBeyoncé expliquait récemment dans une interview accordée à GQ, pourquoi elle a décidé de ne pas tourner de clips . « Je pense qu’il est important qu’à une époque où tout est visuel, que le monde puisse se concentrer sur la voix« , expliquait la chanteuse américaine. La musique est si riche en histoire et en instrumentation. La musique a besoin d’espace pour respirer par elle-même« . De quoi bouleverser plus d’un fan habitué, depuis des années, aux prestations sonores et visuelles de la reine de la pop. Pour autant, si l’artiste a décidé de lever le pied sur les clips, elle n’en demeure pas moins la reine de la pop pour Levi’s, marque culte pour laquelle elle a été choisie pour réincarner des clips de la marque mythique, Pool Hall et Launderette. Ce qui, au niveau de la visibilité est loin d’être anodin et sans doute moins coûteux pour ses producteurs !
Après le Chapter One, Launderette diffusé en octobre dernier tiré du film Levi’s original (ci-dessous).
Voici le Chapter Two « Pool Hall »
Dans ce nouveau film, Beyoncé se met en scène de manière nonchalante, et sans en faire trop, un look denim sur denim emblématique.« Pool Hall » réinterprète la publicité emblématique de Levi’s® du même nom, datant de 1991, à voir ci-dessous !
Alors si nous sommes nombreux à avoir en tête la chorégraphie de Single Ladies, nous aurons désormais le bonheur d’admirer Beyoncé dans ce spot au format bien plus court que la pub initiale. Bien suffisant pour nous mettre en haleine au moment où nous sommes bien incapables de regarder un clip jusqu’à la fin, du fait de sa longueur qui n’est plus adaptée à nos petits cerveaux surmenés.