« If it’s your first lunch at Lunch Beat, you have to dance. If it’s your second, third or fourth time lunch at Lunch Beat, you have to dance. If you are getting too tired to actually dance at Lunch Beat, please have your lunch at some other place. » Ainsi commence le Manifesto de cette communauté, vous êtes prévenus!
Le bouche à oreille et le concept décalé a joué à plein tube. Le premier « day clubbing » à la pause déjeuner avait attiré14 personnes à son lancement en juin 2010. Aujourd’hui, ils sont plusieurs centaines à se réunir une fois par mois pour vivre cette expérience. Pour le moment, on peut y assister à Stockholm, Gothenburg et Malmö en Suède, mais les organisateurs encouragent les personnes qui le souhaitent à créer leur propre événement dans leur ville. La seule « contrainte » : respecter le Manifesto.
« At LunchBeat everyone present is your dance partner ». Ici, personne ne vous demandera de parler boulot. Un bon moyen de ne pas attendre la fin de la journée pour vous changer les idées. Les tarifs de cette « dancing thérapie de jour » varient entre 10 et 15 €, selon les lieux, le nombre d’invités et le line up. Car ces événement deviennent aussi un espace pour découvrir des DJ ou un courant musical.
Ce type d’événements est organisé de manière non-commerciale par ses créateurs, mais on peut néanmoins imaginer l’intérêt qu’il peut représenter pour les marques. Une communauté active qui se réunit régulièrement autour de valeurs communes en fait une cible de premier choix et sûrement très attentive à son environnement. Il faudra alors trouver la bonne manière de s’adresser à elle dans ce contexte afin de légitimer la présence de la marque et de créer une vraie affinité.
Daniel Baldaia
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