Le flagship Audi City est installé au coeur de la capitale britannique sur Piccadilly, une artère animée et cossue.
Un processus de digitalisation très poussé
Le visiteur peut être frappé par le très faible nombre de véhicules présent dans Audi City. Les lieux sont en effet totalement digitalisés. L’espace comporte 7 écrans multi-touch qui permettent au client de choisir un modèle puis de le customiser.
Le modèle sélectionné défile sur les murs entièrement tapissés d’écrans géants. On peut donc instantanément voir son choix apparaître sur les murs en grandeur nature.
Un système sonore directionnel sophistiqué permet une réelle expérience sensorielle.
Malgré la digitalisation, le toucher et l’odorat sont mis à contribution puisqu’il est par exemple possible de palper et de sentir tous les nuanciers de cuir.
La relation client
Il n’est pas possible d’acheter directement son véhicule chez Audi City (il faut se rendre en concession pour cela), qui est plus un showroom qu’un point de vente. Cela n’empêche pas la marque d’Ingolstadt de mettre l’accent sur la relation client.
Des conseillers apportent toutes les réponses nécessaires à une large palette de questions allant de la pré-vente au service après-vente en passant par la maintenance.
Selon Peter Schwarzenbauer, membre du conseil d’Audi, « Audi City offre une liberté nouvelle pour des services sur mesure et un contact encore plus individuel avec le client ».
Un concept appelé à se développer
Audi City s’intègre parfaitement dans l’architecture existante et prend moins de place qu’un showroom classique. Le flagship de Londres occupe ainsi seulement deux étages de 450 m2 chacun.
Le concept est donc particulièrement adapté à des villes denses. D’ici à 2015, le concept devrait être étendu à une vingtaine de villes. Le 1er février, le second espace Audi City a d’ailleurs ouvert ses portes à Pékin.
Daniel Bô, Pdg de QualiQuanti
Cet article est réalisé en partenariat avec IdeesLocales.fr, le blog sur les idées locales d’ici et d’ailleurs imaginé par PagesJaunes.