Les citadins et particulièrement les Parisiens, n’en peuvent plus et souffrent dans des villes encombrées et étouffées par les grèves… Et si un instant – celui de la lecture de la toute nouvelle revue INfluencia – on vous emmenait dans une ville apaisée où l’utile, le quotidien, l’artistique et le beau ne font plus qu’un ?
« Une ville finit par être une personne ». Ces mots de Victor Hugo disent comme elle a besoin de gaieté, d’audace, de folie et de scintillement. Qu’ elle a envie qu’on l’aime, qu’on la bichonne, qu’on la flatte, qu’on l’encense, qu’on la réconforte, qu’on la guide ou qu’on lui dessine des habits de lumière.
Façades, bâches, toits, stations, colonnes, gares, abribus, vitrines, l’habillage urbain prend de multiples formes et la ville tout entière est devenue aujourd’hui un formidable espace d’expression et d’images pour des événements culturels, dans tous les sens du terme, et pour les marques. La ville se réinvente désormais jour après jour avec créativité, se transformant de plus en plus, grâce aux innovations technologiques, en terrains de jeux où les citadins deviennent parfois acteurs.
« À mesure que les années passent, chaque quartier, chaque rue d’une ville, évoque un souvenir, une rencontre, un chagrin, un moment de bonheur », affirmait Patrick Modiano*. Votre ville vous attend. Sortez, ouvrez-vous à elle, ce nouveau numéro d’INfluencia sous le bras bien sûr !
*Discours de réception de son prix Nobel de littérature.