26 février 2020

Temps de lecture : 1 min

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#GameOver : c’était le titre de l’édito de Céline Perruche, rédactrice en chef de Glamour, dans le numéro de février-mars. Son dernier édito pour le dernier numéro de Glamour en France, puisque Condé Nast en a décidé ainsi.

#GameOver : c’était le titre de l’édito de Céline Perruche, rédactrice en chef de Glamour, dans le numéro de février-mars. Son dernier édito pour le dernier numéro de Glamour en France, puisque Condé Nast en a décidé ainsi.

Et en lisant son texte, j’ai eu bien sûr un coup de blues, parce qu’un magazine qui meurt c’est triste et injuste. Mais j’ai aussi eu un gros coup d’admiration car au lieu de s’apitoyer sur son sort et celui de l’équipe qui a écrit l’histoire de ce titre féminin arrivé en France à la fin des années 80, ce dernier édito est dédié « aux plans B, à la reconversion, à la réinvention de soi et des modèles, pour vous dire qu’il n’y a pas de point final tant qu’on n’est pas mort, que sortir de sa zone de confort est angoissant mais finalement terriblement stimulant ». Une dernière révérence effectuée avec un parfait second degré que la revue a toujours aimé pratiquer.

Céline Perruche terminait son édito en disant : « le dernier qui éteint la lumière paie son verre ». Moi, je lève le mien à la résilience, à tous ces journalistes, qui, partout, continuent à faire leur métier et ne se résignent pas face à la mainmise des réseaux sociaux. Vive la résilience. Game is never over…

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