BETC et E.Leclerc filent avec sensibilité la métaphore pour aborder le « coût de la vie »

Notamment pour les salariés payés au salaire minimum, ceux-là ayant augmenté de 12,0 % en 2021 à 14,5 % en 2022, puis à 17,3 % l’an dernier. Avec 57 % de salaires au smic pour les femmes qui forment moins de la moitié de la population active… 

À travers des scènes de vie simples et authentiques, rythmées par le son familier du bip de caisse, ce film illustre une réalité universelle : chaque moment de la vie, qu’il soit anodin ou marquant, a un coût. En mettant en lumière ces instants, le film se positionne en tant qu’aidant avec ses différentes enseignes spécialisées, le Manège à Bijoux, L’Auto E.Leclerc ou encore Brico E.Leclerc. Des magasins qui permettent aux Français de vivre chaque instant, tout en maîtrisant leur budget. Ce film, d’une durée de 25 secondes, est diffusé depuis ce dimanche 26 janvier accompagné d’un dispositif de presse commerciale, spots radio et contenus pour les réseaux sociaux.

Dans un contexte de pression budgétaire sans précédent, E.Leclerc et ses multiples propositions démontrent que la défense du pouvoir d’achat ne peut pas se limiter aux dépenses alimentaires. C’est chose faite. Cette nouvelle campagne publicitaire, signée BETC et réalisée par Simon Ratigan (La PAC) montre la vie telle qu’elle est. Mais malheureusement dans la vie, tout a un coût. Le choix de ce réalisateur n’est pas anodin. Ce conteur cinématographique au style documentaire parvient en quelques secondes à capter l’émotion humaine, la beauté, et la difficulté banale de vivre au quotidien, sa vie. Cette sensibilité est bien là dans ce film dont les gestes même indiquent l’effort que demande de se baisser pour donner à manger à son chat pour une vieille dame, de poser des lentilles sur les yeux au quotidien, de faire une valise en urgence… La métaphore est fine et nous parle de nous.