L’odyssée de Super ADP signée Artefact 3000 !

Décidément il n’y a pas que les longs métrages et les séries dont les formats s’allongent de jour en jour. Depuis quelque temps la pub nous offre des vidéos deux minutes, non pas interminables, mais qui s’offrent le temps et donnent à voir du « spectacle », c’est le cas de le dire… et tant mieux. Sans doute une manière d’exister à côté des multiples images et formats courts destinés aux réseaux sociaux. Ici c’est donc le tour d’ADP (Aéroports de Paris), de se la jouer grandiose, avec le spot Extra&Ordinaire, imaginé avec l’agence Artefact 3000. Une super production cinématographique, qui rend hommage à celles et ceux, collaborateurs du Groupe qui travaillent au sol. Ceux qui permettent ni plus ni moins aux avions et aux passagers de voler.

Un hommage, portrait polyphonique d’un fleuron français industriel et de service, qui à Paris est la porte d’entrée de l’hexagone pour des dizaines de millions de voyageurs. Le spot démarre par la charmante question d’une petite fille qui interpelle son paternel : « et toi papa tu fais quoi de super dans la vie ». Et là, l’homme se fige. Oui que fait-il de super au fait… semble dire son regard terrassé par l’interrogation quasi existentielle de la fillette. Quand soudain tout se dénoue dans sa tête. Il finit par retrouver le fil de tout ce qu’il incarne en travaillant chez ADP. Et c’est ainsi que sous nos yeux, (et dans nos oreilles), ce père va devenir un super papa tout puissant, -l’idée rappelle celle exploitée par le film Caisse d’Épargne, où la maman, se prend elle aussi pour une héroïne en incarnant sa banque-. Le film est diffusé depuis le 10 avril en TV, digital, cinéma, dans différents formats : 2 minutes, 30, 20 et 15 secondes.
Pour réaliser le film, Artefact 3000 et le Groupe ADP se sont appuyés sur des talents français, les Original Kids – duo de réalisateurs franciliens représentés par Frenzy, et Gaspard Augé, grand nom de la scène électro française, la moitié de Justice. Chez INfluencia, nous sommes partagés entre emballement pour le rythme et la pêche de l’idée, et des images pas toujours à la hauteur de l’ambition du film.